On ne dit pas de supplications à l’office du matin (Cha’hrit).
Il est d’usage pour les hommes, d’aller au mikwé (bain d’immersion) pour se purifier spirituellement avant Kippour.
A l’office de Min’ha à la fin de la Amida on récite le vidouï (aveu des fautes).
C’est une mitsva de manger la veille de Kippour et le jeûne y est interdit.
Le jeûne ainsi que les privations débutent avant le coucher du soleil.
On nettoie la maison, on recouvre la table d’une nappe comme à l’approche d’un jour de fête.
Après avoir consommé le dernier repas avant le jeûne, la maîtresse de maison allumera les lumières de Kippour en récitant la bénédiction requise. Si Kippour tombe un Chabbat elle mentionnera aussi le Chabbat dans la bénédiction.
Après l’allumage, elle récitera aussi la bénédiction שהחיינו.
Avant de se rendre à la synagogue, les parents bénissent leurs enfants.